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UN QUARTIER
EN RENOUVEAU
La COOP en mode doux
Vecteurs d’une ville durable et apaisée, tramway, vélos et mobilités collaboratives sont au cœur du développement urbain Strasbourgeois. Une orientation qui trouve toute sa place au sein du parc de la COOP, reliée aux quartiers adjacents par des voies d’accès cyclables, piétonnes et automobiles en plus du tram. À l’intérieur de l’anneau routier qui ceinture l’espace de la COOP, les ruelles, passages et ilots sont libérés de la circulation automobile pour en faire un quartier apaisé, propice aux échanges et aux modes de vies contemporains.
Vies de quartiers
Si la COOP cultive une identité qui lui est propre, elle bénéficie aussi des échanges avec les pôles d’attractivité, commerces et services de son proche environnement. En lien direct avec les nouveaux espaces urbains Citadelle, Starlette, Port & Rives du Rhin, les facultés, le tout nouveau Studium et le pôle médical sont à 10 minutes à pied et 5 minutes seulement en vélo ou en tram. Chaque quartier est doté d’une station de tramway et 2 plateformes de mobilités (parkings mutualisés et service à la mobilité) pour encore plus de fluidité et d’échanges entre les habitants et usagers des sites de ce grand territoire des deux rives.
Des espaces
et des connectionspensés avant-tout
pour l’usageLe modèle urbain de la COOP est celui d’un village avec ses rues, ses places, ses allées. Ce n’est pas une collection de grands édifices à l’intérieur desquels des activités se regrouperaient. Avec ce projet, la Coop devient un village dans la ville, interprétant librement la métaphore de Vitruve : la cité est une grande maison et la maison une petite ville. Le long du Rhin et des bassins portuaires, le site emblématique de la COOP traduit l’ouverture de Strasbourg sur le fleuve et l’Allemagne. Un lieu de vie intense et vibrant, en lien avec Citadelle, Starlette et Port & Rives du Rhin, les nouveaux espaces urbains de l’Eurométropole qui relient le coeur de ville à l’Allemagne. Vecteurs d’une ville durable et apaisée, tramway, vélos et mobilités collaboratives sont au coeur du développement urbain Strasbourgeois Une orientation qui trouve toute sa place au sein du « village COOP », reliée aux quartiers adjacents par des voies d’accès cyclables, piétonnes et automobiles en plus du tram. À l’intérieur de la demi-lune qui ceinture l’espace de la COOP, les ruelles, passages et îlots sont libérés de la circulation automobile pour en faire un quartier apaisé, propice aux échanges et aux modes de vies contemporains. Le nouveau quartier est doté d’une station de tramway et de plateformes de mobilités (parkings mutualisés et service à la mobilité) pour encore plus de fluidité et d’échanges entre les habitants et usagers des sites de ce grand territoire des Deux Rives.
« Il est important que les gens puissent se réunir, déjeuner ensemble, s’installer, boire un verre, lire un livre dehors, sous les arbres. En imaginant ce quartier, on a raisonné sur la façon d’y vivre.Vivre ensemble. »
La renaissance
d’un site visionnaireDans un projet urbain et pour premier mouvement, on peut être tenté d’unifier, pour que ce soit cohérent. Or ce qui est agréable, c’est que ce soit différent. L’architecture, ce n’est pas seulement vouloir que les choses soient coordonnées, uniformes, c’est aussi que l’on puisse être surpris, de préférence en bien. Une façon de faire venir la vie dans un endroit ! On a ici un terrain de 10 hectares sur lequel il y a environ 50 000m2 de planchers de bâtiments existants, construits entre 1911 et les années 1980. Ce n’est donc pas un patrimoine d’une seule époque mais d’un siècle tout entier. Ce qui est intéressant, c’est la diversité de ce patrimoine et donc des bâtiments.
Certains sont anciens, d’autres plus récents, avec des modes constructifs très différents, certains ressemblant aux bâtiments de la Neustadt, d’autres rapportés au fil du temps au gré des évolutions, des usages, des besoins, des progrès techniques. Ce mélange des époques et des styles donne une qualité à cet endroit difficilement reproductible. Quand on construit des nouveaux quartiers aujourd’hui, ils ont tendance à se ressembler tous. Or, ici, et à partir de ce patrimoine, on a la possibilité de faire un petit morceau de ville qui ne ressemble à aucun autre. Qu’on puisse se dire que l’on est effectivement à Strasbourg et dans la COOP, avec l’histoire particulière de la COOP. Une histoire à réinterpréter aujourd’hui.
Alexandre Chemetoff
Architecte, urbaniste, paysagisteCréativité,
culture & loisirsNous voulons expérimenter ici une nouvelle approche de la ville fondée sur la collaboration et le partage. Notre ambition est de reconstituer une forme d’utopie urbaine, d’inventer une vie plus responsable et collaborative pour y faire vivre un nouveau type de solidarité en résonance avec l’histoire du site. Un lieu de nouvelles mixités entre économies créative, numérique, sociale et solidaire, culture et citoyenne.
Alain Fontanel
Premier-Adjoint au Maire de StrasbourgPistes cyclables et piétonnes, tram à proximité immédiate… tout est optimisé pour créer un quartier unique et convivial, calme et résolument moderne.
Le nouveau Parc du Petit Rhin (8 hectares d’espaces naturels) et l’ambiance portuaire sont un atout certain pour développer un art de vivre qui oscille entre sérénité, loisir et créativité.
Le croirez-vous j’ai 116 ans … découvrez mon histoire
J’ai vu le jour en 1902 au centre-ville de Strasbourg, au 15 rue des Dentelles, dans la Petite France. J’étais alors une simple boutique d’alimentation. Mais bien vite à l’étroit dans mes murs, dix ans plus
tard, on m’installe ici. Au bord du Rhin. Il me fallait grandir pour accueillir notamment une ”boulangerie moderne“.
A l’époque, je m’exprimais principalement en allemand et je m’appelais d’ailleurs Konsumverein für Strassbourg und Umgegend.
Comprenez La Société Coopérative de Strasbourg et environs.
Il faut dire que Strasbourg était une sorte de vitrine de l’Allemagne. Laquelle avait décidé de faire d’elle l’une des plus belles villes du pays, y érigeant l’université, des musées, et puis cette fameuse Neustadt. Un modèle de cons
truction et de savoir-faire allemand en matière d’urbanisme d’ailleurs récemment inscrit au Patrimoine Mondial Unesco. Quelle fierté pour notre territoire !
Et c’est donc dans ce contexte que mes premiers bâtiments sortent de terre.
Au-delà des murs et par sa vocation de service, la COOP que je suis reflète un projet social démocrate d’inspiration puisque l’idée est de proposer via à une structure coopérative, une nourriture saine, dans un circuit co
urt à des coûts maîtrisés. Une préoccupation à nouveau très contemporaine en ce 21ème siècle !Partout en Alsace, la COOP est chez elle !
A cette époque, la ligne N°1 du tramway s’arrête quasiment devant chez moi. Signe que nous faisons vraiment partie intégrante de la ville !
C’est aussi le lancement des boutiques ambulantes, avec toujours cette fameuse idée de service et de proximité qui nous est chère.
Imaginez ça : en 1932, ma première boutique ambulante embarque jusqu’à 800 articles. Partout en Alsace, la COOPé est chez elle.
Et puis survient la seconde guerre mondiale.Et là, c’est un terrible coup d’arrêt pour nous.Les véhicules et les denrées sont réquisitionnés.
En septembre 1939, sur mes 189 magasins, 117 sont concernés par les ordres d’évacuation et de nombreux COOPérateurs sont mobilisés. Par souci de sécurité, mon siège est délocalisé à l’hôtel d’Heiligenstein jusqu’en mai 1941.
Et puis il y a cette explosion de mine et l’incendie qui suit en juillet 1940 : mon dépôt est partiellement détruit. Les dommages sont considérables.
Le Führer est hostile aux coopératives. Comme l’ensemble des coopératives bas-rhinoises, je suis dissoute par l’autorité nazie et intégrée de force dans la Gemeinschaftwerk der Deutscher Arbeitsfront.
Enfin, six mois après la Libération, dirigeants et salariés reviennent ici, au Port-du-Rhin. Malheureusement, six obus ont éclaté sur mes différentes façades et tout a été pillé.
Je suis dévastée.
Il nous faut déblayer, réparer, reconstruire.J’alimente près d’un million d’Alsaciens !
Dans le même temps, j’unis ma destinée à mon homologue Mulhousienne et nous formons désormais une seule et unique société avec plus de 600 magasins et 30 milliards de francs de chiffre d’affaires. Je parle d’anciens francs bien sûr !
La coopérative de Colmar nous rejoint en 1972.
Selon les estimations réalisées à cette époque, nos 616 succursales alimentent près d’un million d’Alsaciens !
Aujourd’hui encore, ça me donne le vertige…
C’est cette même année que s’ouvre un Supecoop nouvelle formule, 16, rue du vieux marché au grains à Strasbourg.
C’est dans cette belle dynamique que je fête mes 70 ans.
Un anniversaire célébré en tambours, trompettes et en présence de véritables stars. En l’occurrence Georgette Plana et Salvatore Adamo.
Ce jour-là, mes murs ne suffiront pas à contenir les 15 000 invités. Alors c’est au Parc des expositions du Wacken loué pour l’occasion que se déroule le spectacle.
Un symbole fort et un rêve pour moi je l’avoue.Dernier souffle !
Le XXIème siècle arrive. Les mutations amorcées depuis plusieurs années déjà dans le secteur de la distribution se concrétisent avec l’essor des hypermarchés au détriment des petites surfaces et commerces de proximité. Des équipes entières quittent le Port-du-Rhin pour rejoindre de nouveaux entrepôts plus vastes et en phase avec les besoins de l’époque. Le groupe emploie 4 290 personnes en 2007 et compte près de 160 000 sociétaires. Une formidable embellie avant un brutal revirement de situation.
D’alliances en mésalliances avec de grands groupes concurrents, de tristes événements surviennent qui annoncent ma fin.
Janvier 2014, le Port-du-Rhin, cet endroit qui m’est si cher et avec lequel j’ai grandi, progressé, rêvé et presque tout osé, cette terre et ces bâtiments rivés à mon coeur autant qu’à mon âme, sont désertés par les services.
Ce triste jour d’hiver est le dernier de la COOP chez elle.
Les lumières s’éteignent.
Les rideaux se baissent.
Les portes claquent une ultime fois.
Silence …Là encore quel modernisme …
Reste que cette forme de sobriété et de solidarité qui préside au fonctionnement de la COOP se retrouve dans mes constructions. En 1911, la réalisation des premières est confiée aux architectes Edouard Kettner et Eugène Haug, connus pour avoir dessiné le tribunal administratif rue de la Paix à Strasbourg, et les Grands Moulins de Strasbourg, sur les bords de l’Ill à Illkirch.
Les deux bâtiments très emblématiques de l’entrepôt central sortent de terre en un an.
Un temps record !
Quelques années plus tard, ils seront reliés entre eux par une verrière.
Je me souviens encore de ce jour de mai 1912 où je fus inaugurée…
Dès lors, dans mes murs sont stockés et fabriqués des produits d’alimentation pour être distribués dans des magasins implantés au coeur des quartiers de la ville, puis des villages alentours. La proximité deviendra bien vite ma marque de fabrique.
Là encore, quel modernisme !
A l’époque évidemment, la distribution se fait avec des remorques tractées par des chevaux. Et puis les rejoignent dans la cour les premiers véhicules à moteur.
Il règne ici une activité intense…
jusqu’à la Grande Guerre.Partout en Alsace, la COOP est chez elle !
Mais une fois la guerre passée, je finis par me redresser. Et même prendre un nouvel essor !
Au 31 décembre 1946, nous avons au total 259 succursales.D’autres suivront, surtout en zones rurales.
En 1948, et toujours soucieuse du bien vivre de mes salariés, j’achète un stock de livres et ouvre une bibliothèque. Tout un symbole. Car au-delà du travail qui nous rassemble, j’aime l’idée que l’on se sente bien chez moi.
En écho à notre développement, il nous faut évidemment stocker et fabriquer davantage. Et donc embaucher et s’agrandir au Port-du-Rhin. Un port qui a toute son utilité pour le transport des produits lourds, comme les pommes de terre par exemple, qui sont acheminées jusqu’ici par voie d’eau.
En 1952, des bâtiments s’ajoutent à l’existant sous la houlette de l’architecte Adolphe Schulé.
Et puis d’autres encore en 1959 avec un nouvel entrepôt de 8 000 m2 en retrait de la rue du Port-du-Rhin pour le stockage des produits de mercerie, de l’emballage et de l’électroménager.En 1983… je m’agrandis encore !
Une cinquantaine d’ares nouveaux complètent mon périmètre qui s’étire désormais sur l’intégralité des terrains situés entre les rues de la coopérative et du Port-du-Rhin.
Entre les rues qui m’enserrent et les bâtiments, je forme une sorte de parc clos en forme de demi-lune. A l’intérieur s’organisent des passages routiers et piétonniers entre les voies de chemin de fer.
Si les constructions sont denses et les voies de circulations et de stationnement pour la plupart viabilisées, il subsiste aussi des arbres et quelques plantations. De quoi me rappeler le temps où le vert était ici de mise puisque nous sommes tout près de l’ancien lit du Petit Rhin. Autrefois, le long de la menuiserie, sur ces terres généreusement irriguées par les eaux du Rhin et de ses bassins, il y avait encore des prés et de hauts arbres.
L’année suivante, les COOPérateurs d’Alsace annoncent le rachat de l‘un des plus grands centres Leclerc de France, à Marmoutier, dans le Bas-Rhin. Ce nouveau centre commercial sous l’enseigne Rond Point est pour nous tous un événement. Evénement qui retentit très fort aussi dans l’univers de la distribution. Mais c’est aussi une bascule qui s’opère à ce moment-là. L’essor phénoménal des grandes surfaces au détriment des commerces de proximité m’inquiète…
Pas de doute, le mouvement Coopératif est bel et bien en crise.
Dans la vie d’une entreprise et plus encore d’une grande entreprise comme la COOP, il est des petits gestes qui pourraient sembler anecdotiques et passer inaperçus.
Or il en est un tout particulier qui m’a marqué : le 31 décembre 1989 signe la fin des timbres-ristourne que nous distribuions à nos sociétaires depuis toujours. Jugé vieillot, le système qui restera longtemps ancré dans la mémoire de plusieurs générations d’Alsaciens, est abandonné au profit d’une carte de sociétaire. Un succès, j’en conviens. Plus pratique et plus avantageux de l’avis général.
Il n’empêche, c’est tout un plan de mon identité qui s’envole avec ces timbres abandonnés…
Aujourd’hui bien sûr, je le comprends, mais je ressens une certaine nostalgie devant ces feuilles collectrices estampillées de mon diminutif, soigneusement remplies par les ménagères, leurs enfants et parfois même les maris de centaines de timbres patiemment collectés et précieusement conservés.Pourtant il me semble encore entendre des voix !
Et même de la musique parfois.Je crois rêver mais non, il y a bel et bien quelqu’un.Ou plutôt quelques-uns.Là-bas, dans l’un des ateliers autrefois dédiés aux menuisiers, une poignée d’artistes se sont installés.
Il y a donc à nouveau du monde ici. Et même beaucoup de monde !
Comme ces jours d’automne où mes murs tremblent à nouveau. Ce ne sont pas les coups des machines ni le labeur des ouvriers, mais de la musique. Et quelle musique !
C’est Osophère, un tout jeune “festival électro”.
A 116 ans, je ne mesure pas très bien ce que veut dire “électro” mais quel bonheur de voir tous ces gens chez moi. La vie revient à la COOP.Le 11 novembre … l’armistice signe la paix et le retour de l’Alsace à la France
Une nouvelle stratégie d’expansion se dessine pour la COOP en matière de distribution, et donc de production, avec l’agrandissement du site et de nouvelles constructions en 1923. Mon conseil d’administration fait l’acquisition de 4 000 m2 de terrain voisin du dépôt pour bâtir un garage, des caves à vins et une fabrique de pâtes. Un espace qui évoluera encore en 1930 avec l’extension de cette fameuse cave à vins.
C’est vraiment la grande époque pour moi !
Rendez-vous compte : en 1927, à 25 ans tout juste, j’ai 81 magasins succursales et près de 34 500 clients sociétaires. L’occasion d’un grand cortège d’automobiles qui paradât en ville. L’après-midi, un défilé d’enfants portant les insignes Coopératifs internationaux traversa encore les rues de Strasbourg jusqu’à l’Orangerie pour une grande fête et un bal réunissant les familles!
Des familles qui sont vraiment au coeur de la COOP au point que nous faisons l’acquisition d’un hôtel à Heiligenstein, près de Barr, pour offrir des loisirs à nos fidèles COOPérateurs.
Imaginez ça, dix ans avant les congés payés…Nous voici dans les années 60 !
La diversification est en marche. Et avec elle un grand vent d’innovation et de modernité.
Tandis que la France entière danse sur les tubes d’un certain Johnny ou des Chaussettes Noires, que tout une génération s’embrase devant l’émission “Âge tendre et tête de bois”, tandis que grondent sur grand écran les Canons de Navarone et que Jacques Anquetil remporte le Tour de France, je ne suis pas peu fière d’inaugurer le premier supermarché Coopératif en libre-service. C’est à Strasbourg, au coeur de la Meinau.
J’ai 60 ans et je vis un élan formidable qui se renforce encore avec la construction d’un immense chai d’embouteillage et de stockage de, sirops et limonades. Réparti sur quatre étages et abrité derrière une magistrale baie vitrée dessinée par Adolphe Schulé, c’est, dit-on, le chai le plus moderne de l’Est ! Une usine d’embouteillage qui regroupe 148 cuves en ciment verré reliées entre elles par des canalisations en inox que complètent trois groupes d’embouteillage. Le tout est commandé par un tableau synoptique lumineux ultra moderne.En 1997, j’ai 95 ans !
L’esprit de conquête qui nous a toujours aidé à précéder les grandes mutations pour répondre aux souhaits légitimes des consommateurs.
On peut dire que je suis une vieille dame à présent.
J’ai connu tant de choses qu’il m’est autorisé, je crois, à énoncer quelques grands principes. Enseignés du passé et surtout tournés vers l’avenir, je formule ce jour-là de bonnes résolutions. Ainsi je compte développer encore et toujours :
L’esprit d’équipe caractérisé par cette solidarité exemplaire qui a toujours permis à l’équipe COOP d’affronter avec succès les diverses étapes de notre évolution.
L’esprit coopératif qui constitue la base de notre différence, car il fait appel à l’association des hommes et des capitaux
L’esprit de services qui se traduit par notre volonté permanente d’être à l’écoute des consommateurs pour toujours mieux satisfaire.
L’esprit de libre entreprise qui représente notre capacité à agir, entreprendre, investir et à réussir pour le bénéfice de tous. Notre patrimoine nous devons sans cesse le faire fructifier.
L’esprit de compétition indispensable pour se maintenir à la place de numéro un de la distribution régionale
L’esprit de responsabilités qui a toujours animé les gens et les administrateurs de COOP Alsace.
L’esprit d’initiative qui nous fait aller de l’avant pour améliorer sans cesse nos performances au niveau du service, des prix et de la qualité.Et ce n’est qu’un début !
Dès 2017, je m’étais bien douté que quelque chose d’important se préparait ici : j’avais perçu un son que je croyais oublié pour toujours : celui du tram qui effleure à nouveau mes clôtures…
Depuis, je reçois de nombreuses visites. Des heures durant on arpente mes rues, mes cours, mes passages. Les portes des ateliers et des entrepôts s’ouvrent en grand. Mes escaliers de fer chantent à nouveau sous le bruit de pas vifs et enthousiastes. J’assiste chaque jour à un ballet de véhicules en tous genres. On m’explore, on me commente, on me contemple, on m’examine ; on me mesure et me photographie sous toutes les coutures.
Je surprends ça et là des bribes de conversations : ça parle plans, projets, style, patrimoine, caractère, travaux, plantations, végétal, conservation, innovation, générosité, activités, familles, emploi, solidarité, économie, culture, mixité, émergence…
… ça parle Entre 2 Rives, Stras’coop, SAS-3B !
Joignant le geste à la parole, des équipes et engins s’activent. Plus qu’un lifting, et n’en déplaise à ma coquetterie, me voilà en (très) grand chantier pour retrouver belle allure.
De quoi faire honneur à mes voisins de part et d’autre du Rhin : les quartiers, les rues, les rives du fleuve, le port de plaisance, le port commercial : tout reprend vie. Le tramway a même programmé un nouvel arrêt exprès pour moi : Starcoop-Petit Rhin.
Bref : je suis en pleine effervescence !
Le jour, la nuit, en semaine comme le week-end, les jours ordinaires et jours de fêtes : je redeviens un lieu de vie à part entière où se réinventent cette culture et cet état d’esprit, Coopératifs et transfrontaliersqui me sont si chers. Fidèle à mon âme, mon histoire et mes valeurs, mais résolument tourné vers l’avenir et la modernité, je ne pouvais rêver plus belle renaissance. Mes premiers habitants continueront à écrire l’histoire, leur histoire.Rédigé par Anne CHAUVEAU por SAS-3B
Alexandre Chemetoff,
architecte, urbaniste et paysagiste de la COOPVivre à la COOP, c’est faire un choix. Le choix d’habiter dans un quartier vivant.
Les deux tiers des communes fran- çaises comptent 1000 habitants, soit 400 à 500 logements. C’est cette échelle que nous avons re- tenue pour la COOP car c’est là une unité. Une unité de voisinage. Le Corbusier parlait d’unité de vie, moi je dirais plutôt un voisinage. En l’occurrence, celle de gens qui choisissent d’être là, entourés d’expos, de restaurants, de vie. C’est vraiment une ville dans la ville, une ville vivante. Il faut avoir envie d’être un endroit comme celui-ci. Il faut ai- mer la vie, la ville, le mouvement, l’art.
Il est important aussi d’adhérer à l’histoire de la COOP. Cette histoire qui donne du sens et détermine son identité aujourd’hui.
C’est à dire un quartier dans lequel il y a une forme de coopération entre les gens. Une forme de vie qui fait que l’on n’est pas juste dans un appartement, enfermé dans un bâtiment neuf avec des vigiles en bas.
On est ici dans un endroit où l’on partage quelque chose avec ses voisins, où on peut fleurir son balcon, échanger des graines, faire arroser des plantes quand on part en week-end.
On se retrouve aussi sur la place, dans l’ilot. Il est important que les gens puissent se réunir, déjeuner ensemble, s’installer, boire un verre, lire un livre.
On ne peut pas seulement compter sur la collectivité pour faire ça, il faut aussi qu’il y ait une dimension d’entraide et de partage au niveau d’un ilot. En imaginant ce quartier, on a raisonné sur la façon d’y vivre.
Vivre ensemble. »
Alain FONTANEL
Premier-Adjoint au Maire de StrasbourgAux côtés de Roland Ries et avec les élus Strasbourgeois et de l’Eurométrople, je me suis engagé dans ce grand projet et les changements qui se préparent ici. Changements qui annoncent un renouveau urbain exceptionnel par son ampleur et l’importance des enjeux historiques, géographiques et politiques des programmes projetés et en cours.
Un authentique quartier Coopératif, à investir dès à présent.
La transformation du site de la COOP est menée parallèlement à un projet urbain plus vaste, les Deux Rives, portant sur l’ensemble des terrains restant à urbaniser entre le Bassin d’Austerlitz et les bords du Rhin, notamment sur les sites de Citadelle, de Starlette, du Port-du- Rhin et des rives du Rhin.
Plus que faire naitre ou renaitre des nouveaux quartiers, il s’agit de révéler un espace urbain continu, depuis le cœur de ville jusqu’au Rhin. Un espace à la mesure du renforcement des relations franco-allemandes et de l’affirmation de Strasbourg comme capitale européenne. Le Rhin n’est plus une frontière mais un trait d’union avec Kehl et l’Allemagne. Une porte grande ouverte pour nos échanges au quotidien.
Avec des écoles, des services aux particuliers comme aux entreprises, des activités économiques, culturelles, sociales, des espaces verts très préservés, la proximité de l’eau, un parti-pris urbanistique et architectural singulier, des connexions efficaces aux réseaux de transports existants et des plateformes de mobilité, le Parc de la COOP est propice au bien- vivre de celles et ceux qui feront le choix de s’y installer, d’y travailler, de s’y rencontrer, de s’y divertir.
Un lieu de vie à part entière que nous avons voulu respectueux de son ori- gine et de son histoire avec une vraie conscience solidaire, qui fait parfaitement écho aux valeurs de notre siècle et à ce bel esprit transfrontalier qui marque le site de la COOP et notre agglomération tout entière. Par son histoire, sa géographie et le capital affectif qu’il véhicule auprès de la plupart des Alsaciens, la COOP est un lieu à part, en même temps qu’il est intimement lié à notre territoire.
Eric BAZARD
Directeur général de la SPL Deux-RivesStrasbourg est le deuxième port fluvial français avec 340 entreprises et 10 000 emplois sur 1 060 ha. Un territoire actif et travaillé où se construisent aujourd’hui de nouvelles mixités entre économies, cultures, loisirs et habitats.
Le port c’est aussi un paysage atypique et exceptionnel, au bord de l’eau des bassins portuaires et du canal, un site jalonné par des architectures industrialo-portuaires, des anciens bâtiments industriels réappropriés par les acteurs culturels, et tout un imaginaire à révéler aux habitants et visiteurs. Deux-Rives, c’est aussi développer une métropole écologique et solidaire.
Cette ambition doit s’incarner dans chacune des échelles et projets du territoire. Elle se décline notamment par la démarche Ecocité et la mise en place du “référentiel aménagement et habitat durable“ du territoire des Deux-Rives. »
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Un lieu d’histoire
pour écrire la vôtreDevenir propriétaire, c’est le projet d’une vie, un beau projet. Chez SAS 3b, nous avons conscience et connaissons vos interrogations… Et plus que tout, nous savons que ce qui compte, c’est de pouvoir avoir confiance. Cette confiance, nous vous l’offrons avec un accompagnement à chacune des étapes de votre parcours d’acquisition.UNE IDÉE VIVANTE
DU LOGEMENT
Eléments structurels ou de décors, repérés sur le site de la coop ou en ville, émanant d’usages industriels ou dans la plus pure tradition alsacienne : Alexandre Chemetoff et ses partenaires ont puisé autour d’eux les inspirations et références qui déterminent la nouvelle identité de la Coop.
Autant de codes architecturaux dont ils livrent une interprétation inédite, instaurant un dialogue entre l’existant et ce qu’ils voulaient faire, entre le site de la Coop et le centre-ville. Ainsi le site s’exprime dans sa singularité, sa complexité et sa fabuleuse richesse.
Ici s’élève une haute toiture habitée, là un savant patchwork de pavés patinés s’insinue entre deux rails de chemin de fer. De l’évidence au plus subtil, de l’excroissance en façade d’un oriel tellement strasbourgeois, au traitement noir brûlé d’une pièce de bois comme on en trouvait à la menuiserie de la Coop : tout est là.
Respectueux du territoire et de l’histoire de la Coop où il prend racine, nous avons imaginé un ensemble immobilier dans un esprit contemporain unique en son genre. Un programme immobilier qui marque son territoire et son époque. De la silhouette singulière de cette nouvelle construction jusqu’aux matériaux et équipements en passant par les volumes et traitements végétaux des extérieurs, L’Entre 2 Rives propose une nouvelle façon de vivre à Strasbourg.
Des appartements
réfléchis et premium
La Maison de L’Entre2Rives et La Tour Coop vous proposent une gamme d’appartements premium au design moderne et aux prestations soignées, entourés d’aménagements paysagés et collectifs comme une salle de fitness privative, des jardins, des espaces de convivialité et nombreux espaces richement végétalisés. Du T1 de 27m2 au T5 en étages élevés de 112m2, chaque logement possède un balcon ou une grande terrasse et bénéficie d’une exposition optimale avec vues sur les jardins, le Rhin, les Vosges ou la Forêt Noire.
DES PRESTATIONS
DE QUALITÉ
DES PRESTATIONS HAUT DE GAMME POUR VOTRE FUTUR APPARTEMENT, LA POSSIBILITÉ DE L’EXTRÊME PERSONNALISATION EN PLUS.■ Porte d’entrée A2P sécurisée
■ Entrée avec placards (selon plans)
■ Carrelage 45×45 cm dans les séjours et parquet stratifié dans les chambres
■ Salle de bain équipée meuble vasque avec miroir, bandeau lumineux, éclairage LED et faïence murale toute hauteur sur murs équipés
■ Douche ou baignoire avec colonne de douche
■ WC suspendu
■ Grandes baies vitrées (en PVC), portesfenêtres et fenêtres en oscillo-battant
■ Murs lisses
■ Chauffage collectif au sol par raccordement au réseau de chaleur avec une part d’énergie renouvelable
■ Occultation des fenêtres par brise-soleil orientables électriques + volets roulants
■ Prises et points lumineux pour les balcons/ terrasses /loggias
■ Halls d’entrées décorés
■ Ascenseurs
■ Possibilité de parkings en sous-sol
■ Salle de fitness« Il est important que les gens puissent se réunir, déjeuner ensemble, s’installer, boire un verre, lire un livre dehors, sous les arbres. En imaginant ce quartier, on a raisonné sur la façon d’y vivre. Vivre ensemble. »
Dans ce quartier, la diversité des espaces est telle que l’on habite dans un jardin, on travaille, on se croise et on se retrouve dans une allée plantée, on déjeune sur la place de village, on échange au détour de la serre. Il y a une vraie vie de partage dans les espaces, dans les rues, dans les jardins… On a envie d’habiter ici pour le caractère des lieux, mais aussi pour l’intimité, la confidentialité qu’offre le traitement végétal.
VOTRE LIEU DE VIE
Une végétation
intense et omniprésenteDans ce nouveau quartier, la diversité des espaces est telle que l’on habite dans un jardin, on travaille, on se croise et on se retrouve dans une allée plantée, on déjeune sur la place de village, on échange au détour de la serre. Il y a une vraie vie de partage dans les espaces, dans les rues, dans les jardins…
On a envie d’habiter ici pour le caractère des lieux, mais aussi pour l’intimité, la confidentialité qu’offre le traitement végétal. Il suffit de lever les yeux et de regarder autour de soi pour comprendre que l’on est ici comme nulle part ailleurs. Respectueux du territoire et de l’histoire de la COOP, cet ensemble immobilier traduit un esprit contemporain unique en son genre. Une résidence qui marque son territoire et son époque.
Autant de codes architecturaux qui livrent une interprétation inédite, instaurant un dialogue entre l’existant restauré et le nouveau. Ainsi, le site s’exprime dans sa singularité, sa complexité et sa fabuleuse richesse.
Louis PICCON
Architecte des logements, agence NUNC« Nous sommes entrés dans le projet à l’occasion d’une consultation pour laquelle notre candidature a fait l’objet d’un choix commun de la part de la SPL Deux-Rives, Alexandre Chemetoff et de la SAS-3B.
C’est dans cet esprit collaboratif que nous intervenons sur la construction des 140 logements de « la nouvelle adminis- tration ». Il s’agit d’un imposant ensemble érigé à l’est de l’ancienne administration, en parallèle de celle-ci. La silhouette de cette nouvelle construction est singu- lière puisqu’elle se compose d’un premier bâtiment tout en longueur qui s’élève sur 5 étages surmontés de 4 étages en toi- ture. A son extrémité nord, une tour de 16 étages complète l’ensemble.
Tout l’enjeu était de revisiter les standards archétypaux de Strasbourg et de la COOP selon les lignes données par Alexandre Chemetoff.
Pour notre agence, c’est à la fois un défi et une continuité dans les réflexions et démarches qui animent nos équipes sur la plupart des projets : comment faire une architecture d’aujourd’hui qui dialogue avec une histoire précédente ?
Ici, et sur ce thème, chaque élément a fait l’objet de dialogue avec nos partenaires SPL Deux-Rives, SAS-3B et Alexandre Chemetoff.
Quelques exemples : comment traiter les quais qui courent le long des bâti- ments à 1,20m du sol et donc les rez-de-chaussée ? Quelle densité
et quel rythme d’ouvertures dans
les toitures pour quels effets atten-
dus ? Et de ces toitures très pentues, comment gérer les eaux pluviales ? Les chemins de pluie
ne sont ici pas cachés comme on
le recherche habituellement dans
les architectures contemporaines, mais au contraire mis en scène. L’eau quant à elle alimente la végétation que l’on a voulu luxuriante au plus près des immeubles.Dans ce parti-pris architectural très fort, on retrouve les codes industriels de la COOP, mais aussi d’autres inspirations strasbourgeoises.
Dans la rue des Franc-Bourgeois, on a des bâtiments de grande longueur avec, en rez-de-chaussée, un passage couvert par des arcades.
Ce que nous retrouvons ici avec des locaux d’entrée très ouverts sur la rue. Ce rapport à la rue et à l’extérieur est impor- tant et participe largement de l’accueil et de la qualité de vie de ces nouveaux bâtiments.
Des bâtiments très marqués par le rapport au sol et à la végétation qui nous rappellent qu’Alexandre Chemetoff est avant tout un paysagiste.
Une forêt luxuriante et des espaces de jardins s’étirent le long des bâtiments. Au rez-de-chaussée , aucun logement ne donne directement sur la rue. Depuis les appartements des logements des 5 premiers niveaux, cette vision renforce l’impression d’espace et préserve l’in-
timité. Depuis les appartements sous les toits, la vue surplombe la canopée et s’évade vers le centre-ville. Depuis la tour, d’autres panoramas s’offrent aux résidents, des Vosges au port fluvial et jusqu’à la Forêt-Noire. Autant de proposi- tions pour les habitants qui trouvent ici un parcours immobilier complet.
Dans un cadre pareil, on aimerait faire une architecture qui s’inscrive dans le temps tout en étant de maintenant. Ne pas dater, c’est ne pas vieillir. Tout un programme pour nous qui avons baptisé notre agence “Nunc” ».
NUNC du latin signifie maintenant. Hic et nunc : ici et maintenant
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DES BUREAUX ATYPIQUES
DANS UN PATRIMOINEHORS DU COMMUN
Au coeur d’un environnement culturel, transfrontalier et industriel, les bureaux de la COOP, STRAS’COOP font tout particulièrement écho aux besoins de divers secteurs d’activités parmi lesquels :
– la communication et la publicité,
– la photographie et la vidéo,
– le design,
– l’informatique,
– les entreprises et opérateurs créatifs, artistiques et de spectacles,
Les entreprises et structures qui font le choix de s’installer à la COOP sont animées d’un même état d’esprit éco-responsable, d’une sensibilité aux valeurs de solidarité et de partage et d’une dynamique qui les pousse vers l’audace et l’innovation.Bureaux et ambiance …
Le bâtiment de l’ancienne administration a été préservé pour installer des activités tertiaires. Au-dessus des bureaux occupés par Kaléïdoscoop, sur 4 étages, des espaces où se déclinent deux ambiances très différentes sont proposés : du 2ème au 4ème, c’est un décor industriel qui s’organise entre les poteaux et poutres en béton d’origine et laisse les gaines et chemins de câbles apparents. Au 5ème, les poutres et charpentes en bois confèrent un tout autre caractère aux espaces de travail au bénéfice d’une très belle hauteur sous plafond. Les vastes lucarnes rapportées en toitures donnent beaucoup de lumière et une vue incroyable sur l’environnement.Dans un bâtiment unique, ce sont deux ambiances radicalement différentes pour des lieux de travail particulièrement propices aux activités de création.Jean-Marc LESAGE,
architecte, agence DRLW, en charge des bureaux« Mulhousien d’origine, j’ai eu la possibilité de travailler à la conservation et la reconversion de magnifiques sites industriels qui sont font partie aujourd’hui du patrimoine architectural alsacien pour la période allant de la fin du 19e siècle jusqu’au milieu du 20e siècle.
La Coop est, par sa taille, son histoire et la qualité de ses bâtiments un site exceptionnel tant en terme de qualité de construction qu’en terme de valeur patrimoniale.
A la Coop, les bâtiments reprennent les formes classiques, pour l’époque, de l’architecture rhénane ; néanmoins les structures porteuses font appel au mixage entre les premiers bétons, la brique, le grès et les enduits à la chaux.
Il s’agit donc d’une conception très moderne pour son temps qui révèle un vrai travail de collaboration entre architectes et ingénieurs.
Pour les bureaux, nous avons travaillé sur la petite boulangerie et les ailes ouest et centrale de l’ancienne administration. C’était à l’origine un quartier d’architecture de bureaux. On a fait le choix de respecter et mettre en valeur la sobriété rhénane du site, sans faire de pastiche.
On a introduit par contre, de nouvelles pièces architecturales contemporaines pour apporter de la lumière et de la modernité : des lucarnes en toitures, des coursives et des balcons en métal léger pour prolonger les espaces intérieurs.
Très symbolique du lieu et du passé est présente sur le site une cheminée. Je suis vraiment heureux que nous ayons pu la préserver car ces ouvrages sont rares à Strasbourg. Au-delà de la perspective qu’elle offre sur le site, elle trouve une fonction nouvelle : un escalier de secours vient s’enrouler autour d’elle. Dans le respect de l’esprit d’Alexandre Chemetoff, nous avons travaillé avec Serge Gross, le paysagiste, pour imaginer ici une structure contemporaine, en métal léger elle aussi, qui devient support de végétation.
Le traitement des espaces extérieurs laisse beaucoup de place au végétal, une composante essentielle du quartier. À l’intérieur, les finitions ne sont pas standards. On laisse visibles les structures du bâtiment tout en apportant un traitement et une ambiance acoustique et lumineuse soignés.
Telle qu’elle est conçue, cette offre immobilière de bureaux s’adresse à des personnes sensibles au patrimoine et à l’histoire. Les bureaux Stras’coop offrent une approche du lieu de travail qui n’est pas seulement un outil fonctionnel et économique, mais un choix de vie.
Un réel parti-pris. C’est un site très attractif et séduisant pour tous types de sociétés et d’activités, particulièrement pour les entreprises qui touchent à la création. Comme la nôtre par exemple »
« Nous proposons ici des bureaux hors normes et non transposables, avec une dimension très humaine »
Olivier BRAUN
Agence CBRE Rive Gauche Commercialisateur exclusif des bureauxRive Gauche CBRE est une Sàrl, franchisée du réseau CBRE. Elle a été créée en 1991.
Notre métier : l’agence immobilière et le conseil pour l’entreprise.
Notre équipe est composée de 8 personnes (2 consultants bureaux, 2 consultants locaux d’activité et entrepôt, 1 assistante marketing et communication et une assistante administrative et commerciale).Notre secteur géographique d’activité est le département du Bas-Rhin, principalement l’Eurométropole de Strasbourg pour ce qui concerne le marché des bureaux, et de Wissembourg à Sélestat pour les locaux d’activités et entrepôts. Après des années 2013-2014 très compliquées dans le Bas-Rhin comme sur les principaux marchés régionaux, le marché Strasbourgeois est reparti à la hausse ces 3-4 dernières années. Le développement, très attendus, d’opérations immobilières majeures et structurantes combiné à un regain de dynamisme des entreprises, ont permis de réamorcer un marché à l’arrêt courant 2015/2016.
Le lancement du quartier COOPavec le développement majeur de l’axe Strasbourg-Kehl, en sont les exemples.
Aujourd’hui, le marché Strasbourgeois des bureaux a retrouvé un bon rythme et affiche une moyenne décennale de transaction autour de 69 000 m2 (en 2017). On est sur le même trend pour le 1er Semestre 2018 avec 38 200 m2 placés auprès des utilisateurs. Par ailleurs, le marché des locaux d’activité et entrepôts affiche une moyenne décennale de transaction autour de 182 000 m2, bien que victime du faible nombre d’opérations neuves
lancées ces dernières années.•Quels sont vos projets pour 2018 ?
Après avoir déménagé notre entreprise dans ses nouveaux locaux en Juillet 2018, notre objectif est de continuer à nous améliorer chaque jour pour être encore plus proche de nos clients, à l’écoute de leurs besoins et en capacité de leur apporter notre expertise dans leur stratégie immobilière.Cela passe, inévitablement, par les nouveaux moyens de communications et les innovations de notre époque. C’est notre projet, par exemple dans le cadre de la commercialisation du projet Stras’Coop,
porté par le promoteur 3B Promotion, restructuration complète d’un immeuble industriel en friche, en bureaux de dernière génération. Nous travaillons avec une équipe d’aménageur sur une modélisation des plateaux de bureaux en Réalité Virtuelle.Pour tous renseignements
RIVE GAUCGE CBRE : 5 Rue de Dublin, 67013 Strasbourg
03 88 37 11 00
www.rivegauche-cbre.comCandice WOJAK
Cabinet RELYANCE :Un environnement professionnel agréable entraîne le plus souvent un vrai bien-être pour le salarié. De plus en plus d’entreprises investissent sur l’aménagement de leurs bureaux pour développer la créativité et la productivité de leurs équipes.
Concevoir le bureau comme un lieu d’épanouissement
A mesure que les emplois, notamment ceux dans le service, se sont rationnalisés et transformés, les postes de travail ont subi une évolution similaire. Même si le fait de travailler derrière un bureau a longtemps constitué un symbole de promotion sociale, cela fait plusieurs années que ce n’est plus le cas. La taylorisation des tâches évoquées plus haut n’a fait que renforcer l’aspect utilitariste des bureaux, en leur ôtant – si tant est qu’ils n’en ont jamais eu – toute dimension créative.
On a construit des bureaux identiques pour tout le monde, qui n’étaient la propriété de personne, en particulier dans les open-spaces. Désormais, les bureaux s’articulent autour de la notion de partage avec le Combi-Office, le Hot-Desking ou le Just-in-Time Office.
Un changement impulsé par les entreprises
Les entreprises réalisent désormais qu’elle doivent revoir de fond en comble l’organisation générale des espaces de travail en mettant à la disposition de leurs employés des modules plus flexibles, capables de s’adapter rapidement à l’évolution des activités.
Cela est particulièrement vrai quand les équipes travaillent en mode projet, où des dizaines de personnes doivent œuvrer de concert pendant une durée limitée avant de revenir à leur espace de travail originel. La flexibilité et la modularité sont donc au centre des préoccupations.
Les nouveaux bureaux et les bureaux virtuels
Une des solutions pour répondre à ces nouveaux objectifs est le recours aux bureaux virtuels. Plutôt que d’investir dans l’immobilier, certaines entreprises développent des solutions en ligne permettant d’augmenter l’efficacité du travail à distance par exemple. Cela demande également des efforts plus importants en termes d’organisation mais le jeu en vaut généralement la chandelle.
D’autres entreprises préfèrent miser sur l’aménagement des espaces de travail physiques en travaillant le style, la couleur des moquettes et des murs ou encore grâce à des achats d’œuvre d’art pour agrémenter leurs espaces.
Le but est de créer une ambiance conviviale, propice au développement de la créativité et à l’amélioration de la collaboration entre les équipes.
Autre avantage de ces investissements : ils contribuent à améliorer l’image de l’entreprise, non seulement en interne, mais aussi pour les clients qui viennent visiter les locaux ou pour les candidats qui viennent passer un entretien d’embauche.
En collaboration avec
RELYANCE Cabinet de conseil en transformation organisationnelle et Qualité de Vie au Travail
Relyance est un service de conseil qui accompagne l’épanouissement durable des Organisations par l’amélioration continue des process, outils et relations. Nous proposons des solutions de conseil, de formation et de médiation, associées à des outils ludiques et innovants.
Et le lien vers notre site : www.relyance.fr
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